1. |
Voyez dit l'Évangile
03:49
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(Matthieu 6:25-34)
Dieu voit ma vie entière, il a son plan d’amour.
Il connait ma misère, il m’aide chaque jour.
Je ne sais rien d’avance, mais il me conduira.
En toutes circonstances, sa grâce me suffira.
Voyez, dit l’Évangile, l’oiseau, le lys des champs.
Leur vie est bien fragile, Dieu y veille pourtant.
Puisque sa providence les garde et les nourrit,
J’ai pleine confiance, sa grâce me suffit.
C’est un doux privilège que d’êtres dans sa main.
Pourquoi m’inquièterais-je encore du lendemain?
À chaque jour sa peine, c’est Jésus qui l’a dit.
La chose est bien certaine: sa grâce me suffit.
Voyez, dit l’Évangile, l’oiseau, le lys des champs.
Leur vie est bien fragile, Dieu y veille pourtant.
Puisque sa providence les garde et les nourrit,
J’ai pleine confiance, sa grâce me suffit.
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2. |
Le bon berger
03:52
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(Inspiré du psaume 23)
L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer, mon fardeau est le sien.
L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer, il est mon soutien.
Il me dirige près des eaux paisibles, il restaure mon âme.
C’est lui qui m’anime et me garde,
Il ravive mes forces lorsque je suis épuisé.
Oui, je redirai: il est le bon berger.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort,
Je ne crains aucun mal, car il est avec moi.
Même si le chemin est obscur, je sais qu’il saura me guider.
Sa parole me rassure, il est le bon...
L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer, il est mon soutien.
Il me fait reposer, car il est le bon berger.
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3. |
Jour après jour
03:49
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(Romains 8:38-39)
Mort avec Christ d'une mort volontaire,
Je vis au ciel déjà sur cette terre;
En attendant son glorieux retour,
Je suis gardé par lui de jour en jour.
Jour après jour gardé,
Jour après jour, je suis aimé,
Jour après jour à l'abri de ton aile,
C'est le repos et la vie éternelle.
Il n'est de douleurs que son cœur ne partage,
Il n'est de fardeaux dont il ne me soulage;
Il n'est de pleurs qu'il ne daigne tarir,
Il n'est de maux qu'il ne puisse guérir.
Jour après jour gardé,
Jour après jour, je suis aimé,
Jour après jour à l'abri de ton aile,
C'est le repos et la vie éternelle.
Et son regard qui me sourit des cieux,
Jour après jour me rend heureux.
À mes soupirs s'incline son oreille;
Lorsque je dors, près de moi son cœur veille;
Quand, pour toujours, mes yeux se fermeront,
Ses bras puissants au ciel me porteront.
Jour après jour gardé,
Jour après jour, je suis aimé,
Jour après jour à l'abri de ton aile,
C'est le repos et la vie éternelle,
C’est la vie éternelle!
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4. |
Il est tout près
04:17
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(Ecclésiaste 3:11)
Lorsque je n’étais qu’un enfant,
J’observais le ciel, le firmament.
Tant de beauté en équilibre,
J’étais rempli d’un grand vertige !
L’immensité m’envahissait,
L’éternité était tout près.
Seul, je n’étais plus tout seul, je voyais ta grandeur,
Alors chavirait mon cœur, tu étais là, Seigneur.
Seul, je ne suis plus tout seul, ô céleste bonheur !
Que je vive ou je meure, tu es là, Seigneur.
En grandissant, on m’a appris,
Que par hasard vint la vie.
Le Livre parle d’un créateur,
Celui-là même qui désire parler à ton cœur.
L’immensité, c’est lui en fait,
L’éternité, c’est Dieu tout près
.
Seul, je n’étais plus tout seul, je voyais ta grandeur,
Alors chavirait mon cœur, tu étais là, Seigneur.
Seul, je ne suis plus tout seul, ô céleste bonheur !
Que je vive ou je meure, tu es là, Seigneur.
Si comme moi, il t’a saisi,
N’hésite pas, marche avec lui.
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5. |
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Je cherchais à travers mes larmes
Le sentier qui conduit aux cieux,
Combattant par mes propres armes
Le mal toujours victorieux.
Combien fut longue et douloureuse
La lutte entreprise sans toi!...
Maintenant, ma vie est heureuse
Par la victoire de la foi.
Nautonier battu par l'orage,
J'ouvrais ma voile à tous les vents,
Mais nul ne poussait au rivage;
J'errais sur les flots décevants,
Lorsqu’apparut, marchant sur l'onde,
Jésus qui murmurait: C'est moi...
Et je vais sur la mer profonde
Sans crainte, ô Sauveur, avec toi.
Dans un sacrifice illusoire,
Donnant et reprenant toujours,
Cherchant la paix sans la victoire,
Ainsi coulaient mes tristes jours.
Ô Dieu, la paix nait de la grâce,
Et cette grâce vient de toi...
Maintenant, en elle je place
Tout mon espoir, toute ma foi.
Ah! Pourquoi lutter sans relâche
Et seul te fatiguer en vain?
Pourquoi, seul, affronter la tâche,
Et marcher seul dans le chemin,
Quand du ciel un Ami suprême,
Ô cœur lassé, s'adresse à toi,
Et, pour te secourir lui-même,
Ne te demande que la foi?
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6. |
Le mont des Oliviers
04:03
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(Luc 22:39-46)
Quand, découragé, je songe à tout abandonner,
Quand, les yeux voilés de tristesse, je sombre dans la nuit,
Quand les ombres sur ma route mettent mon âme en déroute,
Tu éclaires mon cœur et tu sèches mes pleurs.
Sur le mont des Oliviers, ton Père tu as prié.
Dans l’angoisse et la peur, il t’a fortifié.
Aujourd’hui comme un frère, tu écoutes mes prières,
Heureux de cette amitié, sur toi je peux compter.
Quand l’orgueil et le mensonge m’éloignent de la foi,
Quand je te fuis dans la honte, sourd au son de ta voix
Tu me ramènes à l’essentiel, au sein de ta grâce éternelle.
Où irais-je sans toi? Tu connais tout de moi.
Sur le mont des Oliviers, ton Père tu as prié.
Dans l’angoisse et la peur, il t’a fortifié.
Aujourd’hui comme un frère, tu écoutes mes prières,
Heureux de cette amitié, sur toi je peux compter.
Sur le mont des Oliviers, ton Père tu as prié.
Dans l’angoisse et la peur, il t’a fortifié.
Aujourd’hui comme un frère, tu écoutes mes prières,
Heureux de cette amitié, sur toi je peux compter,
Sur toi je peux compter.
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7. |
Dans ce désert aride
04:01
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(Hébreux 11:1)
Sur toi, ma foi repose; puis-je te suivre en vain,
Ou perdre quelque chose, quand toi-même es mon gain?
Si les biens de la vie prétendent m’arrêter,
Ma céleste patrie me les fait rejeter.
Ô mon âme est ravie, je contemple le ciel,
Déjà je m’associe aux louanges éternelles.
Au plus fort de mes peines, tu fortifies ma foi.
L’épreuve est toute pleine de ton amour pour moi.
Dans ce désert aride et sans chemin tracé,
Mon modèle et mon guide, Jésus seul a passé.
Par toi je viens au Père, tu es tout mon bonheur,
Aussi rien sur la terre n’a d’attrait pour mon cœur.
Sur le chemin des heures où je suis engagé,
Si je gémis et pleure, tu sais m’encourager.
Dans ta grâce parfaite, toujours tu me secours;
Ton bâton, ta houlette, me guident chaque jour.
Dans ce désert aride et sans chemin tracé,
Mon modèle et mon guide, Jésus seul a passé.
Par toi je viens au Père, tu es tout mon bonheur,
Aussi rien sur la terre n'a d’attrait pour mon cœur.
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8. |
En chemin par la foi
04:09
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Dieu ne peut te laisser voir toujours ton chemin,
Mais marcher par la foi, tel est l'ordre divin.
Dieu ne peut de ta route enlever chaque pierre,
Tu lâcherais bientôt sa tendre main de Père.
Dieu ne peut t'épargner ni les pleurs, ni la croix,
Ni le joug qui t'oppresse et t'irrite parfois.
Ainsi, dans son amour, Dieu permet la fournaise:
Il l'attise parfois, plutôt qu'il ne l'apaise.
Mais ce Dieu tout-puissant a dit que pour les siens,
Le feu ne brûlerait jamais que les liens.
En Dieu qui te conduit mets donc ta confiance,
Chante si tu le peux, un hymne d'espérance.
Peut-être en t'écoutant, un cœur auprès de toi,
Triste, désespéré, retrouvera la foi.
Qu'importe si ta voix hésite, pleure ou tremble:
Dieu permet de pleurer et chanter tout ensemble!
Dieu ne peut te laisser voir toujours ton chemin
Mais marcher par la foi, tel est l'ordre divin.
Dieu ne peut de ta route enlever chaque pierre,
Tu lâcherais bientôt sa tendre main de Père
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9. |
Après les tourments
04:32
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(Inspiré d’Ésaïe 53)
Il a été emporté par la violence et le jugement,
Il a été retranché de la terre des vivants,
Il a plu au Père de le briser par la souffrance,
Entre ciel et terre, entre deux brigands.
Après les tourments de son âme, il rassasiera ses regards,
Par la connaissance qu’ils auront de lui,
Après les tourments de son âme, il rassasiera ses regards,
Par la connaissance qu’ils auront de lui,
Mon serviteur justifiera beaucoup d’hommes.
On a mis sa tombe parmi les méchants,
Bien qu’il n’ait pas commis de gestes violents.
Il a été compté parmi les coupables,
Agneau sacrifié, pur, irréprochable.
Après les tourments de son âme, il rassasiera ses regards,
Par la connaissance qu’ils auront de lui…
Nos souffrances, il a portées,
Nos douleurs, il s'est chargé.
Après les tourments de son âme, il rassasiera ses regards,
Par la connaissance qu’ils auront de lui,
Après les tourments de son âme, il rassasiera ses regards,
Par la connaissance qu’ils auront de lui,
Mon serviteur justifiera beaucoup d’hommes.
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10. |
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(1 Corinthiens 13:7)
Mon cœur voudrait t'aimer, assez t'aimer,
Pour pouvoir supporter, tout supporter:
La souffrance et la peine, l'injustice et la haine.
Je veux assez t'aimer pour tout supporter.
Mon cœur voudrait t'aimer, assez t'aimer,
Pour pouvoir accepter, tout accepter:
Quand je ne puis t'entendre, accepter sans comprendre.
Je veux assez t'aimer pour tout accepter.
Mon cœur voudrait t'aimer, assez t'aimer,
Pour pouvoir espérer, tout espérer :
La fin de la souffrance, la pleine délivrance.
Je veux assez t'aimer pour tout espérer.
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11. |
Aujourd'hui, reçois
03:51
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Je courbe mon être pour toi,
Toi qui fus humilié au bois.
Je courbe mon être pour toi,
Jésus roi des rois.
Seul, abandonné pour nous tous, pécheurs,
Seul, sur cette croix, une grande noirceur.
Aujourd’hui, reçois tout l’honneur,
Aujourd’hui, reçois tout l’honneur,
Aujourd’hui, reçois tout l’honneur.
Je courbe mon être pour toi,
Toi qui fus humilié au bois.
Je courbe mon être pour toi,
Jésus roi des rois.
Seul, abandonné pour nous tous, pécheurs,
Seul, sur cette croix, une grande noirceur.
Aujourd’hui, reçois tout l’honneur! (cinq fois)
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